Dedans-dehors, intérieur-extérieur, fini-infini, Jean-Philippe Domecq se joue des apparences.
La densité absolue, incandescente et décantée, est son territoire. Il pratique à vif l’impérieuse nécessité du dépouillement. Art des confins, au bord de l’abîme, au seuil de l’essentiel. Chaque création est une implosion arrêtée, une respiration d’immensité. Le souffle du visible incante chaque toile.