Une tête de vache picassienne sur un vélo picassien, et voilà notre homme mis en route. Marche en avant, toute, dans les marges inventives de la belle création décalée. Par les chemins de traverse, les hauts-fossés du monde et les champs libérés d’un imaginaire intemporel, archaïque, sylvestre et magique. Jano Pesset, à la scénographie déroutante et jubilatoire,