Du 12 juin 2014 au 7 juillet 2014
À retrouver à GALERIE CLAUDINE LEGRAND
49 rue de Seine
75006 Paris
France
www.galerie-claudine-legrand.fr
+33 (0)1 43 25 96 60
RONEL
GALERIE CLAUDINE LEGRAND
GALERIE CLAUDINE LEGRAND
Du 12 juin au 7 juillet 2014
PARIS 6ème
Christophe RONEL
Christophe Ronel est né en 1964 à Rouen, il est initié très jeune à la peinture aux côtés d’un père peintre, il vit et travaille en Normandie et à Paris.
Agrégé en Arts Plastiques, Ronel enseigne à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et Métiers d’Arts Olivier de Serres à Paris à partir de 1990.
Ronel, l’imaginaire voyageur.
Le monde de Christophe Ronel est inqualifiable : nourri d’horizons lointains, de personnages, de signes, d’animaux hybrides ou réels, de cités et de ports, pétri de cultures multiples, façonné par une écriture jubilatoire, dense et narrative, la planète Ronel est celle d’un peintre voyageur effervescent et d’un visionnaire ébloui. Mais que l’on ne s’y trompe pas, ses terres africaines, son Inde désirée, ses multiples périples deviennent au sein de l’atelier des territoires improbables que Christophe Ronel prend soin de disséquer à partir de ses carnets, de mettre en miettes avant de nous les restituer «façon puzzle››, recomposés au gré d’un imaginaire foisonnant. Attiré depuis les années 1980 par les cultures nomades et traditionnelles, par l’ethnographie et la littérature de voyage, le peintre collecte, dessine, note, assimile formes, motifs, symboles, ornements et détails qui constitueront la trame de ses thèmes, nourrissant une figuration onirique paradoxalement spontanée et structurée.
Chaque tableau est un condensé, une énigme à entrées multiples, invitant oeil et esprit au jeu infini des associations et des réminiscences.
Gilbert Lascault a écrit : «La peinture de Christophe Ronel inventerait un pays à la fois utopique et concret. Elle ne définirait nul Empire, nul état. Elle multiplierait des scènes disparates, des images égarées, des visions vagabondes, des éblouissements insoupçonnés. Elle serait nomade et lucide en une errance sagace et colorée (…) »
