
Du 24 septembre 2016 au 30 octobre 2016
À retrouver à GALERIE SEPTENTRION
Chemin des Coulons
59700 Marcq en Baroeul
France
www.galerieseptentrion.com
06 23 24 69 10
GALINSKI – DIAZ-RONDA
GALERIE SEPTENTRION
Du 24 septembre au 30 octobre 2016
MARCQ-EN-BAROEUL (59)
EVELYNE GALINSKI – LEON DIAZ-RONDA
Leon Diaz-Ronda est né au début de la guerre civile à Madrid qu’il quittera en 1966 à l’âge de trente ans, c’est en France qu’il va se consacrer à la gravure jusqu’en 1998 puis à la peinture et à la photographie. Il vit à Narbonne depuis cinq ans. « Ma peinture, écrit León s’inscrit dans un univers plutôt poétique : quotidien ou féérique, abstrait ou figuratif, flou ou précis… avec, de plus en plus, la conscience de n’être que témoin de moi-même et ce que j’observe. »
Le photographe doit regarder le monde avec l’œil du peintre affirmait déjà Talbot, inventeur du négatif, à la naissance de la photographie, il y a presque deux-cents ans. León Díaz-Ronda fait son miel de cette pensée, il œuvre dans cet aller-retour photographie-peinture. Il est à la fois ce photographe au regard de peintre et ce peintre-photographe. Qu’importe.
La photo et la peinture se mêlent pour recréer le monde en une image floue, onirique, sans jamais perdre leurs identités propres. C’est là toute l’élégance de ses œuvres épurées, lumineuses, néo-impressionnistes.
Evelyne Galinski est née en 1950 à Marseille, Evelyne Galinski commence la sculpture assez tard. Son inspiration : méditation, silence, zen, arts du corps, relation à soi, relation à l’autre.
« Les sculptures d’Evelyne Galinski ne laissent pas indifférent. Pour certains, elles témoignent de la finitude humaine et de la mort impossible à apprivoiser. Pour d’autres, elles sont le fruit d’une recherche spirituelle, là où les corps semblent chercher l’extase, dans une lévitation vers une destination inconnue. Bien d’autres aspects apparaissent (…), lorsque par exemple une main se pose avec protection sur la tête d’un enfant. Celui-ci, ou un autre, se retrouve avec un livre ouvert sur les genoux et, dans une concentration paisible, découvre quelque chose que nous ne saurons jamais… » Francine Caspar