Yuki YAMAGUCHI
Bio
Le fil rouge de Yuki Yamaguchi…
« Ma création est un voyage vers l’essentiel.
Au centre : l’harmonie humaine, le lien à la nature,
et la beauté nichée dans la simplicité imparfaite.
Mon souffle vient des paysages du sud-ouest de la France
et des mémoires sensorielles au Japon.
Le wabi-sabi est ma boussole, révélant les miracles discrets du quotidien.
Chaque geste, chaque matière choisie, dialogue en silence avec la durabilité.
C’est croire en une beauté qui se déploie avec le temps.
Le luxe, pour moi, c’est un espace apaisé,
une respiration profonde,
un frôlement d’âme.
Mes œuvres cueillent la lumière fugace du jour
et offrent des instants pour s’arrêter,
simplement, en paix. »
Fortement influencée par la philosophie japonaise du WABI-SABI, qui célèbre la beauté dans l’imperfection et l’éphémère, Yuki invite chacun à ressentir l’apaisement et à se reconnecter à l’essentiel. À travers ses créations, elle construit un pont sensible entre ses racines japonaises et sa vie en France, offrant une réflexion inspirante sur la beauté simple et la richesse infinie du dialogue entre les cultures et les éléments naturels.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Son premier choc artistique a été la découverte d’un bol de thé ancien, fendu et réparé avec de l’or selon la technique du kintsugi.
Ce n’était pas une œuvre d’art au sens occidental, mais il émanait de cette imperfection assumée une beauté bouleversante.
Ce jour-là, Yuki comprit que le temps, la fragilité et la réparation pouvaient être une forme d’art.
Le portrait chinois de Yuki Yamaguchi
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Je serais une œuvre fragile et forte à la fois, portant en elle l’énergie silencieuse qui transforme les blessures en lumière, et habitée par le souffle du wabi-sabi, de la durabilité, du luxe intérieur et de la sérénité.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Je serais un violet brumeux, comme une brise d’aube qui caresse l’âme et éveille l’imaginaire.
Si vous étiez un pays, vous seriez : Je serais une terre sans frontières. Nourrie par les récits du Japon, j’ai poussé mon premier cri dans le silence de l’Allemagne, et c’est la lumière du sud-ouest de la France qui m’éclaire aujourd’hui.
Si vous étiez une musique, vous seriez : Si j’étais une musique, je serais un morceau de Deep Forest — une mélodie organique, enracinée dans la terre, où les voix ancestrales se mêlent aux vibrations du monde invisible. Une musique qui traverse les frontières, comme un souffle ancien qui murmure à l’âme.
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En permanence
- Gallerie GNG – Paris
- Pandemart – Bethunes
« Mes œuvres sont des respirations silencieuses.
Elles invitent à ralentir, à ressentir, à se reconnecter à l’essentiel.
Dans l’imperfection, je cherche la grâce. »