Vincent SAILLAND
Bio
Autodidacte, ma sensibilité artistique s’est façonnée via des souvenirs contemplatifs d’enfance (les paysages, les rivières, la nature en général), et de mon admiration envers certains maîtres anciens.
Enfant, je m’initie au dessin en copiant les bandes dessinées (Tintin).
À l’âge de 13 ans, je découvre la peinture dans les livres, notamment en cours d’espagnol, avec un tableau de Dalí (Vestige atavique après la pluie), qui a été un élément majeur de mon éveil pictural.
Je serai par la suite, fasciné par les travaux de Rembrandt, Turner, Courbet, Delacroix, Goya, Caravage, Redon, Dalí, et bien d’autres. Le sombre et les ombres, trop souvent dissociés de la lumière, sont selon moi intimement liés. L’un ravivant l’autre, ce qu’on appelle le clair-obscur.
Malgré une palette de couleurs restreinte, les tons terreux, envahissent souvent mes peintures de paysage, mes scènes bucoliques, mes inspirations classiques.
La figure humaine presque absente de mon travail, hormis quelques silhouettes suggérées, m’anime de plus en plus, et devrait être un sujet récurrent à l’avenir. Tant à l’huile qu’à la gravure en taille-douce cette dernière technique vient compléter depuis peu ma pratique de l’aquarelle, des encres, de l’huile et de la pierre noire.
Je peins ou dessine presque tous les jours, le plus souvent des croquis qui mènent parfois à une huile sur toile, ou une aquarelle, le plus souvent ils mènent nulle part. Mais je pense par ailleurs, que le croquis est un dessin à part entière.
À suivre :
En permanence :
- Galerie l’Éphémère – Le Mans (72)