Stéphanie LECOMTE
Bio
Le fil rouge de Stéphanie Lecomte…
Stéphanie est née à Paris en 1968.
Passionnée par le dessin, elle se présente au concours d’admission de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, où elle entre d’abord dans un atelier de dessin d’après modèle vivant en 1987 puis, en 1988 dans l’atelier de Pierre Carron. Immense émotion…
Stéphanie peint sur de vieilles planches de bois, n’aimant pas du tout le contact avec la toile, sur le thème des portes et fenêtres pendant 5 ans.
Ses professeurs Pierre Carron et Georges Jeanclos organisent un voyage d’ateliers sur le peintre Nicolas Poussin, à Rome en 1992 : c’est magique.
Ces deux hommes fabuleux sont extrêmement bienveillants tout au long de ses années d’études, elle ne les oubliera jamais. En 1993 elle obtient son diplôme.
Deux mois après, sa sœur unique meurt de façon tragique. Ses deux professeurs l’apprennent et la soutiennent avec des mots doux, et forts.
Pendant un an, elle arrête de peindre, puis reprend. Elle expose dans les Hauts de Seine, à Paris, et participe à plusieurs expositions collectives en France et à l’étranger.
De retour d’un voyage en Égypte, elle rompt avec les intérieurs des portes et des fenêtres, ainsi qu’avec la technique de la peinture sur bois, pour le grain de la toile.
Puis elle expose au Maroc, à Marrakech et Fès, pendant quelques années.
Lorsqu’elle rentre en France, intimement marquée par le désert, Stéphanie prends le parti de le graver dans ses tableaux, quels que soient les thèmes abordés, car la lumière est bien le dénominateur commun dans son écriture. Par le dépouillement, elle veut retenir l’essentiel, et créer un équilibre entre les vides et les pleins. Un équilibre soutenu également à la manière d’une partition de musique, art qui l’accompagne depuis sa naissance.
« Less is more », est sa démarche de vie et d’artiste.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Avoir vu enfant, dans un livre d’art, le tableau « La Madeleine à la veilleuse ».
Ce tableau est imprimé en elle. C’est lui qui est à l’origine de cette révélation d’avoir envie de devenir peintre. Créer, seule, ce qu’elle a envie.
Puis, Vermeer.
Mais surtout, surtout, Mark Rothko.
Pierre Carron, Georges Jeanclos… Plus que des professeurs. Des confidents, des amis, des sources.
Le portrait chinois de Stéphanie Lecomte
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : « La Madeleine à la veilleuse » – Georges de la Tour
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le vert
Si vous étiez un pays, vous seriez : La France
Si vous étiez un livre, vous seriez : « La cicatrice » – Bruce Lowery
Suivre Stéphanie Lecomte
En permanence
- Galerie « l’Art du coin de la rue » – Dinan
- Galerie « Le 36 galerie d’artiste » – Les Sables-d’Olonne
- Galerie XXIE – Montbrison
- Galerie Corinne Le Monnier – Le Havre
« J’ai le souci de me mettre à l’unisson de la nature, bien plus que de la copier »
Georges Braque