Pascale MARCHESINI ARNAL
06 22 46 00 35
Pascale MARCHESINI ARNAL
Bio
Le fil rouge de Pascale Marchesini Arnal…
« Je vous invite à un voyage doux bien qu’étrange dans mon monde imaginaire… Pas de violence, juste une amitié et une complicité affichée dans mes couples inattendus « humain-animal ». Ces couples qui affichent dans le mouvement leur étonnement et demeurent interdits par ce qu’ils découvrent de notre monde… Interdits ou délicieusement surpris par ce qu’ils voient : le ciel, les étoiles, une fleur de pin, le fruit du Liquidambar…
Je ne suis pas « sûre » de suivre un fil rouge conscient, une inspiration bien définie quand « j’entre en création »… Dès que je pénètre dans l’atelier, je m’y abandonne avant toute chose. Je ne cherche pas à dire : ça vient tout seul… ou pas.
J’aime le lien qui unit 2 êtres, qu’ils soient humain ou animal.
J’aime cette interrogation qui peut les lier l’un à l’autre.
J’aime l’espoir qu’ils me donnent en un futur…
J’aime entrer dans mes rêves et y croire. »
Ses sculptures, de bronze, de plâtre ou de papier de soie patiné, s’imposent comme une invitation au songe dans un monde fantasmagorique…
Ses personnages, comme ses animaux, sont longilignes, filiformes. Elle inclut dans leur légère armature des fils d’aluminium qu’elle tisse et tricote, et sur lesquels elle s’appuie parfois : ils disparaissent alors dans sa forme ou restent apparents, dessinant alors une musculature.
Pascale travaille presque exclusivement avec des papiers de soie qui correspondent à la peau de ses sculptures, tourmentée, accidentée, pas lisse, comme la vie. Parfois, un élément supplémentaire intervient : la présence d’un os, généralement la tête de son animal, mais surtout LE point de départ de sa sculpture…
La présence du manque, à travers les creux partiels, compose ses œuvres. Tel un judas ouvert vers un monde intérieur, elle exprime ce qui habituellement est caché, dissimulé, enfoui. Ainsi ses pièces agissent comme un miroir nous renvoyant à notre propre humanité.
En quelques mots, son premier choc artistique…
1975. Galeries Nationales du Grand Palais. Elle a 15 ans. Elle découvre avec ses parents le travail de Max Ernst. C’est la 1ère fois qu’elle s’attarde autant sur des toiles et que son regard s’y perd…
« La grande forêt » et les nombreuses autres forêts dans lesquelles elle pénètre sans réserve et se prend à rêver…
Le portrait chinois de Pascale Marchesini Arnal
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : « Le jardin des Délices » Jérôme Bosch.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Couleur pierre du pays.
Si vous étiez un pays, vous seriez : L’Italie.
Si vous étiez une musique, vous seriez : « Paradise Circus » Massive Attack.
En permanence
- Bruno Matthys Gallery – Bruxelles
- Galerie Artmouvances – Montfort l’Amaury
- The Artistic Red Dot – Parcé sur Sarthe
- Galerie l’Atelier Perché – Bellême
- Galerie l’Ane bleu – Marciac
Suivre Pascale Marchesini Arnal
« Mes créatures ont cette étrange faculté d’être apparemment effrayantes, tout en étant familières, douces, bienveillantes… Elles semblent être venues pour nous et nous invitent à vivre pleinement. »