Minna KOKKO
Bio
Le fil rouge de Minna Kokko…
Minna puise son inspiration principalement dans la nature, lors de promenades dans la forêt, au bord de la mer, dans les champs. La forêt est son atelier. Elle a besoin de se sentir connectée au vivant afin de créer. Les éléments naturels – feuilles, branches, fleurs, pierres, eau – qu’elle trouve lors de ces promenades, participent souvent à ses créations.
Le fil rouge de son travail est la recherche de liens qui existent entre les différentes formes du vivant. Elle aime penser qu’elle peut « co-créer » avec la nature. Par son travail, elle cherche aussi à questionner la place et le rôle de l’humain au sein du monde vivant.
« Mon travail s’articule autour du monde vivant. Je suis à la recherche d’éléments naturels qui séparément ou ensemble constituent une harmonie. L’idée centrale qui m’intéresse est la connexion intime entre l’être humain et la nature. Mon intention artistique est de rétablir cette connexion.
Intuitivement, cela passe par le fait de rechercher et mettre en évidence la beauté du vivant, en particulier celle du monde végétal.
Cela fait plusieurs années que je travaille dans ce sens. Bien sûr, la crise climatique que nous traversons actuellement accentue ma volonté de contribuer à une prise de conscience. Je pense que l’art peut être un puissant levier d’action.[…] »
En quelques mots, son premier choc artistique…
Adolescente, Minna a découvert l’œuvre d’Akseli Gallen-Kallela au musée Ateneum à Helsinki. Son travail l’a beaucoup marquée par son aspect symbolique et sa force visuelle.
Le portrait chinois de Minna Kokko
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : « La Grande Vallée » de Joan Mitchell.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le bleu.
Si vous étiez un pays, vous seriez : Le Japon.
Si vous étiez une musique, vous seriez : « The Köln Concert » de Keith Jarrett.
Suivre Minna Kokko
« Minna Kokko est une artiste photographe qui affectionne tout autant la prise de vue que le traitement des images. Entre ses mains, le numérique devient un laboratoire permettant d’exprimer la richesse du monde. »
Boris Marotte pour l’exposition « Cent_Titre(s) 2020 »