Mies SAVOYE
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Portrait © Gautier Van Lieshout
Mies SAVOYE
Bio
Peintre et dessinatrice.
QUAND LE CHEMIN FAIT ŒUVRE…
L’évolution artistique de SAVOYE n’est pas rectiligne mais caractérisée par des expérimentations et des recherches incessantes qui ressemblent à son parcours atypique riche d’expériences et de vie. Plasticienne et architecte urbaniste, ses premières incursions dans le champ de la peinture abstraite l’aident à sortir de la bureaucratie et des conventions qu’elles soient d’architecture, de corps ou de la société.
LA TOILE … TEMOIGNAGE D’UN CORPS VIVANT …
Que ce soit par la forme » enlevée » ou dans l’apparaître « figé » d’un instant photographique reporté, griffé, détourné, SAVOYE interroge la notion d’impermanence par l’art le plus permanent qui fût … le dessin et la peinture. Ainsi, quand son geste devient la trace du passage d’un être ou d’une action, la toile pour elle commence à faire sens. Le point positionne le mouvement à venir, la ligne le poursuit, parfois jusqu’à sa disparition hors du champ de la toile. Le plan peut faire figure de lieux de certitude, mais souvent la dématérialisation des épaisseurs de l’huile, transforme sa couleur en énergie.
LA TOILE COMME MONDE … MAIS UN MONDE DE PASSAGE …
car il n’est pas d’arrivée dans sa quête intérieure, pas d’autre but que cette quête elle même. Quand elle aborde l’origine de toute chose, elle déploie une poésie de la mutation et du passage au travers de mythes vivants et mouvementés. Elle accompagne cette dynamique en mêlant parfois différents médiums et techniques, où la spontanéité du geste est sous-tendue par un équilibre
construit, qui questionne avec fougue le rapprochement entre l’art et la vie.
POUR UN ART AU SERVICE DE LA PAIX, L’UNITE AVEC LA NATURE
Depuis 2019, dans sa recherche d’une « réalité essentielle » entre les hommes, entre les hommes et la nature, SAVOYE nous invite à méditer sur ses utopies urbaines, où il n’existe pas plus d’hommes sans mémoire que de sociétés sans ruines sur lesquelles viennent se greffer l’explosion de la vie. C’est de cette interdépendance de tous les phénomènes qui rejoint le concept de vacuité, que l’artiste tente de faire jaillir le mouvement de la vie elle-même, cette capacité de la nature à relier les liens humains, pour une ouverture vers la paix.