Kristina KARAYMAN
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Kristina KARAYMAN
Bio
Le fil rouge de Kristina Karayman…
Autrefois, elle s’inspirait beaucoup de ses rêves, car ils étaient très colorés et très concrets, regorgeant de détails. Des croquis étaient esquissés dès le réveil et un journal était même dédié à noter les rêves les plus intéressants.
À présent, ses rêves l’inspirent un peu moins, car c’est plutôt son entourage qui lui insuffle de l’inspiration. Le quotidien, les gens, la nature – tout ce qu’elle voit est une source potentielle d’inspiration. Il lui arrive de fixer soudainement quelqu’un, et un détail comme son nez ou ses oreilles peut déclencher un déclic d’inspiration. De plus, elle visualise énormément. Depuis l’âge de 11 ans, elle pratique un exercice de visualisation qui est maintenant ancré dans sa vie quotidienne. Elle observe et imagine comment dessiner. Par exemple, pour le portrait d’un inconnu, elle esquisse mentalement. Cette pratique lui permet de s’entraîner en permanence et d’apprendre continuellement, tout en nourrissant son inspiration car elle pense constamment au dessin et ressent le désir de concrétiser ce qu’elle a visualisé.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Elle a eu son premier choc artistique à l’âge de 10 ans, lorsqu’elle se préparait à intégrer une école d’art pour enfants. C’était un vieux peintre qui lui a enseigné les bases de la nature morte et de la composition.
Pour elle, c’était un nouveau monde, rempli de règles et de logique, mais cela ne lui faisait pas peur. Sa première nature morte était un vase, dont elle se souvient encore aujourd’hui.
Le portrait chinois de Kristina Karayman
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Dans le Nord sauvage, Ivan Chichkine.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le Vert.
Si vous étiez un pays, vous seriez : La France.
Si vous étiez une musique, vous seriez : Gnossienne No.1 Erik Satie.
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