Eliora BOUSQUET
Bio
Le fil rouge d’Eliora Bousquet…
Avant de peindre, Eliora Bousquet médite toujours dans la nature (elle habite au pied du parc des Buttes Chaumont), pour se ressourcer et trouver l’inspiration, non seulement en observant le ciel, mais aussi en lisant des poèmes ou en écoutant de la musique jazz ou classique.
Son thème de prédilection : la quête de liberté, sous toutes ses formes. Cette quête se retrouve dans ses principales sources d’inspiration : le ciel, aux sens propre et figuré, les éléments air et eau, les oiseaux aux longues plumes stylisées, la mer, les fleurs…
Sa peinture, riche en symboles, se caractérise par la notion de mouvement et le mélange non académique d’un arc-en-ciel de couleurs irisées qu’elle obtient en utilisant différentes techniques acquises au cours de travaux d’expérimentation.
Son objectif est d’émouvoir le spectateur, le faire s’émerveiller et l’interroger en lui proposant des peintures à thème, codées, dont il est invité à découvrir l’histoire ou le message caché.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Deux oeuvres ont marqué sa vie : Les nymphéas de Claude Monet, qui la fascine par rapport au travail de la lumière, ainsi que les créations de Sandro Botticelli, découvertes lors d’un voyage à Florence, pour la richesse symbolique.
Elle est passionnée par l’époque de la Renaissance italienne.
Le portrait chinois d’Eliora Bousquet
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Les nymphéas de Claude Monet.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le Turquoise.
Si vous étiez un pays, vous seriez : L’Italie.
Si vous étiez un livre, vous seriez : Jonathan Livingston Seagull de Richard Bach.
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“Que l’importance soit dans votre regard, non dans la chose regardée.” André Gide
