Claire EMOND
Bio
Le fil rouge de Claire Emond…
Ses préoccupations plastiques se sont centrées sur différentes imageries (scientifiques, naturalistes, travaux de photographie) afin de construire un univers graphique personnel. Les images de « base » sont retravaillées jusqu’à la transformation de l’image qui engendre un nouveau regard.
Avec comme point de départ des formes géométriques puis différentes expériences visuelles, les compositions font appel à un jeu de coïncidences. Les formes se structurent les unes avec les autres en jouant sur les contrastes et la densité des noirs. Le travail au point permet à la forme de s’esquisser lentement. En constante évolution, la composition finale devient le vecteur d’un imaginaire esthétique et poétique qui crée des espaces abstraits, sans repère, ni échelle.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Claire s’est arrêtée plusieurs fois sur des œuvres, sans vraiment savoir pourquoi elles résonnaient en elle.
Elle l’a toujours pris comme une évidence, une émotion qu’il ne faut pas forcément verbaliser. Depuis toujours, elle est parfois touchée par des images, des fragments, qui résonnent en elle sans qu’elle sache vraiment pourquoi.
Le portrait chinois de Claire Emond
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Albrecht Dürer, La Mélancolie, 1514, burin.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le Noir.
Si vous étiez un pays, vous seriez : L’Italie.
Si vous étiez un livre, vous seriez : La Confession d’un enfant du siècle, Alfre de Musset.
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« Elle dessine encore et encore dans l’air du temps, sur le vent des songes, sur des spirales infinies et on respire avec elle la beauté réelle du monde. Enfin, pour tout dire, voilà une artiste qui sans esbroufe, avec doigté et mine de rien nous fait du bien. »
Yannick Lefeuvre, conteur.