Christian RONCERAY
Bio
Le fil rouge de Christian Ronceray…
Après avoir expérimenté de nombreux matériaux (écorces, enduits, sable, tissus …) et axé mon œuvre essentiellement sur l’humain, mon travail a évolué naturellement vers une épuration et devenu plus minimaliste.
Je travaille désormais avec très peu de matières: brou de noix, acrylique en jus, et comme seuls outils des petits morceaux de tissus et un porte-plume.
C’est avec cette économie de moyens et de manière quasi obsessionnelle que je tente de révéler des mondes inconnus.
C’est cette aventure qui me mène au quotidien, un voyage spirituel, poétique, imaginaire, une nécessité intérieure loin des bruits du monde.
D’un geste qui court sur la toile, le trait-trace prime sur la couleur pour réaliser mes « Paysages Mémoire », architectures et paysages oniriques, évanescents, déclinés en deux séries parallèles : « Au-delà » et « Vestiges » à la frontière incertaine entre les deux.
En quelques mots, son premier choc artistique
Ma première rencontre avec la peinture s’est faite grâce à la philatélie: les reproductions de tableaux étaient de grande qualité et me fascinaient. C’était comme un musée en miniature. Cela m’a sensibilisé. Puis est venue la découverte de l’Expressionisme Allemand qui m’a donné envie d’agir. Enfin, le grand choc a été la découverte de l’œuvre de Zoran Music lors de la grande rétrospective à Paris, qui m’a transmis la notion d’exigence et de rigueur.
Le portrait chinois de Christian Ronceray
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : L’œuvre complète de François CHENG.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Un camaïeu de bleu.
Si vous étiez un pays, vous seriez : Le Tibet.
Si vous étiez un livre ou une musique, vous seriez : Le Stabat Mater de Pergolèse.
En permanence :
A suivre sur :
« Les œuvres d’Art sont d’une infinie solitude. »
Rainer Maria Rilke
