Catherine MAUCOURT
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Catherine MAUCOURT
Bio
Le fil rouge de Catherine Maucourt…
Promouvoir par le geste artistique les matériaux humbles, conserver l’empreinte d’un monde impermanent.
Le Métal, la part de création née de l’inattendu.
Créer à partir de l’informe de notre civilisation sous trop d’aspects gaspilleuse. Un acte de résistance à contre-courant de nos productions industrielles.
Matière brute, arrachée à quelques friches industrielles, déchet voué à la rouille du Temps, au rebut de l’Histoire.
Matière-sucession de formages, déformations, torsions … Cisaillée, remodelée de mains humaines, debout, en équilibre fragile, porteuse d’espoir.
La Terre, pour une lente élaboration de la forme nourrie d’émotions successives.
S’ inspirer des reliefs – strates et stries cicatrices de la besogne du temps – dans « les voyageurs »
Sculpter, pour en extraire ce qui se donne de soi. « Bustes », et « personnages-penseurs », mis à l’épreuve du temps et de la vie, dont la matière brute nous rappelle notre humaine condition d’êtres-poussière.
Le temps qui passe… L’histoire, la mémoire, le reste…
Promouvoir par le geste artistique des matériaux humbles
Conserver la trace, l’empreinte d un monde impermanent.
Explorer la sensualité des matériaux.
Souligner la pureté de sa ligne, l’harmonie de ses courbes
Jouer sur le contraste matière brute / fragilité
Transmettre des émotions
Inviter au questionnement.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Des souvenirs d’émotions fortes, où le « sublime » remplace le « beau » : Geneviève Asse dans la sérénité d’un abbaye ; Le Peigne du Vent d’Eduardo Chillida un jour de tempête…
Le portrait chinois de Catherine Maucourt
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Mark Rothko, Untitled (Black And Gray), 1970.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le Noir.
Si vous étiez un pays, vous seriez : Un pays sans frontière.
Si vous étiez un livre, vous seriez : Christian Bobin, Arvo Pärt.
En permanence
- L’atelier Perché – Bellême – Orne
- La Galerie Daniel Vignal – Vabre – Tarn
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« Tour à tour, les sculptures sont légèreté, tension, fragilité et force. Elles s’imprègnent des traces d’une histoire et révèlent leur origine dans un voyage où la sensualité se joue de la matière brute. »
