Bruno CHIAPELLO
Bio
Le fil rouge de Bruno Chiapello…
Mon travail a pour base un univers graphique fait de formes et de liens. J’imagine la rencontre de blocs qui s’entrechoquent et se mélangent créant ainsi de nouveaux plans, d’autres perspectives.
Ma peinture propose un cheminement entre formes cubiques et expressions plus libres. Je cherche l’instinctif, tout en proposant des clefs par le cheminement et l’imbrication qui peut être brutal ou plus organique. Je travaille également sur les transparences avec une prédilection pour le blanc qui masque et révèle une nouvelle perspective.
Chaque tableau est une sorte d’autoportrait. Brutal, géométrique ou plus sensuel, illustration du reflet de mes émotions du moment. Chaque fin de série m’inspire la série suivante.
L’abstraction est pour moi un appel à l’émotion pure, sans aide graphique, sans référence trop simple à l’existant.
Je travaille, en parallèle et en reflet de mes tableaux, la céramique. Je travaille dans cette pratique un brutal équilibre des formes, et une douceur de la céramique en miroir à la couleur noir mat de mes sculptures. C’est, pour moi, un complément logique à mon travail de peintre.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Son premier choc artistique fut une balade en foret dans le Vercors.
Un mélange de couleurs sourdes, de minéraux, de formes graphiques pures et d’enchevêtrements végétal complexes.
Le portrait chinois de Bruno Chiapello
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Graphisme et deux croix – Tàpies.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Noir et blanc.
Si vous étiez un pays, vous seriez : L’Espagne.
Si vous étiez une musique, vous seriez : Underworld – Banstyle/Sappy’s Curry
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« Déséquilibre volontaire, accident graphique, vision par transparence »
