Anne-Marie PANSART
Bio
Le fil rouge d’Anne-Marie Pansart…
Ma source d’inspiration est ce qui me permet de toucher à la beauté, qui me fait m’arrêter sur le bord du chemin, qui me transporte et m’emporte dans un autre univers, celui de la contemplation , et me fera oublier le temps présent. Ensuite j’irai chercher comment poser sur la toile des jeux de couleur, une certaine construction, une certaine lumière…
Je peins et photographie ce qui m’attire, me touche, et après un voyage magique, je peux peindre toute une série sur ce qui m’a fascinée, que ce soit la couleur des terres d’Islande, les tons colorés de l’automne japonais, ou autre inspiration que j’essaie de traiter en abstraction, pour retrouver l’essence de ma vision primitive.
En photo, je vais rechercher des visions étonnantes par leur formes et leurs couleurs, que je ne peux voir que de façon fugace, ou avec une certaine lumière, qui sont uniques, et que je ne veux manquer… C’est ce que je trouve dans les reflets, où ce qui était statique devient vivant. La nature peut aussi offrir des visions surprenantes, si l’on sait regarder. Il faut prendre son temps à la recherche de la beauté, et être capable de s’étonner.
Le tableau ou la photo sont des images, et qu’elles soit construites ou reçues à partir d’idées, de sensations, d’émotions, de réactions, elles sont choisies par l’artiste et traduisent son sentiment profond.
Mon travail est une recherche de lumière et d’équilibre dans les formes, les rythmes, et les couleurs.
Peinture et photographie sont les deux facettes essentielles de mon activité.
En quelques mots, son premier choc artistique…
En peinture, c’est l’instant où elle est entrée dans l’atelier où elle allait travailler pendant 10 ans, saisie par l’odeur de la peinture à l’huile, par le calme et la concentration qui y régnait, par les couleurs sur les toiles, par la lumière du lieu…
C’était une évidence de laisser sa vie professionnelle une journée par semaine pour vivre celle d’artiste.
En photo, c’est le moment d’éblouissement ressenti en sortant sur le parvis de La Défense, avec cette lumière, ces reflets et compositions colorées à découvrir sans fin.
Le portrait chinois d’Anne-Marie Pansart
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Gudrun de Gerhart Richter ou N°14 de Mark Rothko.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Rouge cadmium.
Si vous étiez un pays, vous seriez : La France.
Si vous étiez une musique, vous seriez : La valse de Ravel.
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« Ce sont la lumière, la couleur, la beauté de la nature qui me portent et m’emportent. »
