Rieja VAN AART
Bio
L’histoire de Rieja Van Aart
Rieja van Aart, née aux Pays Bas, voulait devenir artiste ou journaliste. Elle a choisi l’art et a intégré une école d’art, mais elle n’aimait pas le système. Lorsqu’on lui a proposé de devenir apprentie journaliste dans un journal, elle a répondu « oui ». Elle est rapidement devenue une « vraie » journaliste, courant d’un conseil municipal à une exposition, d’un incendie à un défilé de mode… Elle y a beaucoup appris : écrire, gérer le stress, connaître les gens, fonctionner sous pression.
Ne voulant pas abandonner l’art, elle a suivi des cours à l’académie des beaux-arts et elle s’est mise à la photographie les dimanches; les autres jours de la semaine étaient consacrés au travail.
Les quotidiens sont devenus des hebdomadaires puis des mensuels sur papier glacé. D’étudiante elle est devenue journaliste, rédacteur en chef et puis directeur de la rédaction d’hebdomadaires et de magazines sur papier glacé. Le week-end, elle continuait à prendre des photos : des natures mortes qui devenaient souvent des images abstraites. Au début, elle prenait des photos analogiques, puis numériques. Une à deux fois par an, elle exposait ses oeuvres.
Réaliser des journaux et des magazines signifie penser aux lecteurs, à ce que veulent les autres. À un moment donné, Rieja a eu envie de réaliser ce qu’elle aimait elle-même, ce que son cœur lui dictait. Elle a donc décidé de cesser de contribuer au journalisme, de s’installer en France et de travailler sereinement sur ce qu’elle ressent.
Rieja expose désormais ses photos environ 5 fois par an en France, aux Pays-Bas et en Allemagne. Elle se sent bien dans la campagne française, elle est heureuse de son travail.
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« Ses natures « mortes » nous introduisent à une autre dimension de la vie, comme si nous passions de l’autre côté du visible. »
Michel DIAZ, écrivain.
