< retour à l’Agenda des sorties
Infos

Dominique RENSON

Dominique RENSON

Du 19 février 2014 au 15 mars 2014

À retrouver à Galerie Schwab Beaubourg
35 rue Quincampoix
75004 Paris
France

www.galerieschwabbeaubourg.com
01 42 71 12 16

Mis à jour par admin
Infos

Dominique RENSON

Galerie Schwab Beaubourg

GALERIE SCHWAB BEAUBOURG

Du 19 février au 15 mars 2014

PARIS 4ème

 

Dominique RENSON

 

Dominique Renson a été formée à l’école Duperré, puis a l’ENSBA de Paris. Elle vit et travaille à Paris.

 

« Lorsque je peins un être humain, j’ai toujours la mort en présence parce que le corps vit et meurt. Il n’est ni seulement la vie, ni seulement la mort. Il est le champ où la vie et la mort se joignent et se disjoignent […] Je suis un peu barbare quand je peins. Il y a le premier jet suivi d’un état d’insatisfaction parce qu’en fait, je cherche à aller au-delà des traits, j’essaie d’imaginer des choses qui sont derrière l’apparence… Je ne cherche pas l’originalité à tout prix. J’aime travailler sur la réalité. L’anecdote ne m’intéresse pas. Je ne souhaite pas raconter d’histoires…” Dominique Renson

 

« La lignée dans laquelle s’inscrit avec une impressionnante aisance Dominique Renson est celle de Giacometti et non pas celle de l’hyperréalisme, on l’a compris. Aller plus loin que ce que nos yeux nous disent du réel, c’est présenter de manière palpable ce que l’être observé éprouve au plus profond. » Jean-Luc Chalumeau

 

« Quand Dominique Renson évoque sa peinture barbare, elle nous confie que sa férocité est la conséquence de notre civilisation, la ville peut être, à l’opposé de la sauvagerie. Sa peinture nous met en position de voyeurs d’âmes. Et c’est bien agréable. » Boris Cyrulnik

 

« Affilier la peinture de Dominique Renson à celle de la grande lignée des peintres du corps anxieux, celle d’Egon Schiele, Christian Schad, Francis Gruber ou encore Lucian Freud, n’est pas incohérent. Dominique Renson ne « portraiture » pas au sens classique du terme, qui suppose qu’un tour avantageux ou désavantageux soit donné à celle ou celui que l’on portraiture. Le portrait, chez elle, advient plus honnêtement comme révélation. Être ce corps-là dans la vie impose chez elle que l’on s’affiche tel quel en peinture. Le peintre comme maître psychologue, nourri d’exactitude. » Paul Ardenne

 

 

 

Oeuvres

Dominique RENSON

Dominique RENSON

Dominique RENSON

Les commentaires sont fermés.